2003

Festival 2003


Le festival : où et quand ?

Le 1er Festival de la Jeunesse orthodoxe s’est tenu à l’abbaye de l’Ouÿs, au coeur de la forêt, dans l’Essonne, près de Dourdan, du 1er au 4 mai 2003. Belle occasion de partager les trois derniers jours de la semaine lumineuse (semaine qui suit Pâques, c’est à dire la semaine la plus festive de l’année...) et le dimanche de Thomas.

Le festival : avec qui ?

Venus des six coins de l’hexagone, se sont réunis quelques cent vingt jeunes orthodoxes de 18 à 35 ans, d’origines les plus diverses mais tous prêts à faire du français la langue de ce festival : Français, Russes, Grecs, Roumains, Syriens, Libanais, Néerlandais, Anglais, Américains, Argentins.A noter la présence remarquée de Monseigneur Gabriel (archevêché des Eglises de tradition russe pour l’Europe Occidentale) tout juste venu rejoindre les participants au lendemain de son élection, ainsi que la présence de Monseigneur Silouane (patriarcat de Roumanie).

Le festival : comment ?

En alternant temps de réflexion et temps plus festif, le festival a été un moment de rencontre d’une part des jeunes entre eux et d’autre part des jeunes avec le Christ.La conférence du Père Alexis Struve sur le thème « Vous Tous qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu le Christ » a été un moment-clé du festival. Le Père Alexis a en particulier insisté sur les moyens de réaliser l’objectif principal du baptisé :placer le Christ au centre de sa vie.

Différents ateliers de réflexions ont été proposés en amont de la conférence : le couple devant Dieu et son apport pour la vie spirituelle, quelle spiritualité pour les jeunes laïcs de notre temps, l’Eglise face au monde d’aujourd’hui, l’accompagnement aux mourants, la confession, la fête de Pâques dans notre Eglise, le sens du symbole de foi, le problème du regroupement ethnique des communautés en France...De nombreux moments de détente sont enfin venus ponctuer l’événement : activités sportives, chants, danses, ballades en forêt, soirées festives.

Le festival : en résumé

Le festival fut donc « une fête de l’unité », appelée à être le point de départ d’un festival permanent de participation à la vie de l’Eglise dans un esprit de service et d’audace.